Les traitements les plus efficaces contre l’éjaculation précoce
Vous avez sûrement entendu tout et son contraire au sujet de l’éjaculation précoce. Entre les pilules miracle, les remèdes de grand-mère et les produits retardants aux noms aussi farfelus que grotesques, difficile de faire le tri. Pourtant, il existe bel et bien des méthodes qui fonctionnent. Je peux vous l’assurer.
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Prenez le temps de lire mon témoignage si :
- votre problème d’éjaculation précoce dégrade vos relations intimes
- vous avez du mal à échanger avec votre partenaire car le sujet est tabou
- vous recherchez un traitement naturel et efficace sur le long terme
- vous en avez assez de perdre du temps avec des méthodes inefficaces
- vous êtes trop gêné pour en parler à votre médecin traitant
Vous êtes toujours là ? Très bien. Sachez que vous n’êtes pas seul, loin de là. En effet, 30% des hommes sont concernés par ce problème d’éjaculation prématurée.
Je suis moi-même un ancien éjaculateur précoce. Le problème est apparu en 2018, quand j’ai changé de femme. D’abord quelques ratés qu’on attribue à la fatigue, puis des échecs au lit qui se répètent. Des tensions qui s’installent dans mon couple. De la frustration pour ma partenaire. Une perte de confiance totale pour moi… Je me suis alors dit qu’il était temps de prendre le problème à bras-le-corps. Que ma difficulté à contrôler l’éjaculation et à satisfaire ma partenaire ne se résoudrait pas « toute seule ». Je me suis documenté, j’ai testé pas mal de choses. Avec plus ou moins de succès. Et j’ai finalement trouvé la solution : le coaching vidéo de Pascal de Sutter et Alexandra Hubin. C’est en quelque sorte une rééducation, avec des étapes à franchir. Certes, cela nécessite un peu de temps. De l’engagement. De la patience. Mais si au bout du compte, vous retrouvez une vie sexuelle épanouie comme moi, n’est-ce pas le plus important ?
Solution n°1
- 2 docteurs français reconnus
- 7 vidéos à regarder derrière votre écran
- Solution naturelle à 100%
Solution n°2
- Méthode naturelle
- Recommandée par les sexologues
- Aide à identifier les signes de l’imminence de l’éjaculation
Solution n°3
- Désensibilise le pénis
- Remboursée à 65 % par la sécurité sociale
- Peu d’effets secondaires
Éjaculation précoce : plusieurs causes, plusieurs traitements
La liste des solutions proposées ci-dessus est issue de ma propre expérience. Elle synthétise ce qui a fonctionné dans MON CAS personnel. Bien entendu, il se peut que tout cela soit inadapté pour vous, même si j’en doute très fortement.
Il est important ici de rappeler que les causes de l’EJP peuvent être multiples. Est-elle primaire ou secondaire ? Est-elle en lien avec une dépression, ou des problèmes relationnels ? Est-elle le signe d’une pathologie sous-jacente ?
Si la réponse à cette toute dernière question est oui, c’est cette cause pathologique qu’il conviendra de traiter en priorité. Il peut s’agir d’un phimosis ou d’une inflammation de la prostate par exemple.
Mais croyez-moi, ces causes purement médicales sont RARES.
Dans l’extrême majorité des cas, l’éjaculation précoce est « simplement » le résultat d’un défaut d’APPRENTISSAGE du contrôle de la montée de l’excitation. Et c’est là-dessus que vous devez concentrer tous vos efforts.
Les méthodes comportementales : une solution naturelle et incontournable
Même si les causes varient, le traitement qui est recommandé dans la majorité des cas est celui des méthodes comportementales. De quoi s’agit-il ?
Il s’agit, ni plus ni moins, de conditionner son corps à durer plus longtemps au lit. À acquérir de nouveaux automatismes.
À l’image d’un marathonien qui doit s’entrainer à courir de longues distances pour être performant le jour J, les méthodes comportementales sont un ensemble d’exercices destinés à habituer l’organisme à « supporter » un haut degré d’excitation, afin de retarder le plus possible le moment de l’éjaculation.
Le stop and go (aussi appelé stop-start) fait partie, au même titre que la méthode squeeze (ou pression pénienne), des traitements les plus représentatifs de ces méthodes naturelles.
La prise en charge thérapeutique : pour des résultats durables
Réaliser ces exercices sans accompagnement d’un professionnel, pourquoi pas, mais cela montre vite ses limites.
Consulter un sexothérapeute peut réellement aider à renforcer la confiance en soi, mise à mal par vos problèmes d’éjaculation précoce.
Mieux, une thérapie sous forme de coaching, comme celle que proposent, en ligne, Alexandra Hubin et Pascal de Sutter, a été pour moi LA CLÉ.
Apprentissage des techniques de contrôle éjaculatoire, gestion des mouvements corporels, amélioration de la respiration… les conseils et l’expérience de ces deux sexologues ont été déterminants pour vaincre mon éjaculation précoce. Je leur dois beaucoup.
Les médicaments retardateurs : des produits à éviter
Notre corps est une véritable usine chimique. Et force est de constater que la chimie pharmaceutique est efficace pour soigner de nombreux maux.
Si je déconseille l’utilisation des médicaments sur le long terme et que je me méfie de leurs effets secondaires, je suis moins catégorique sur leur utilisation de manière raisonnée, en traitement combiné avec une thérapie comportementale par exemple.
Dans ce domaine, un anesthésique local comme la crème Emla a fait ses preuves. Du moins, les rares fois où je l’ai utilisée. Car franchement, je ne trouvais pas ça très agréable comme sensation.
Il existe aussi Priligy (Dapoxétine), qui agit un degré au-dessus, en tant qu’ « inhibiteur de la recapture de la sérotonine ». Là aussi, pourquoi pas en complément d’une thérapie de fond, mais j’ai vraiment beaucoup de réserves sur ce médicament retardateur.
Dans tous les cas, ces traitements médicamenteux sont uniquement des remèdes « palliatifs » : l’éjaculation précoce réapparaît plus ou moins vite dès que vous arrêtez de les prendre.
Un conseil, ne misez pas tout sur les médicaments, car ils ne règleront pas votre problème d’éjaculation rapide. Pour votre santé sexuelle, pensez long terme !